

Seule, assise sur le rivage
Que de vagues en démence
Mer. . . Imprévisible et sauvage
Sur ta houle déchainée
Que je veux approcher
Miroir sur l'horizon m'éblouit
Mer. . . Mystérieuse à l'infini . . .
Vagues d'écume déferlantes
Éclaboussent mon visage de fines gouttelettes
Tes embruns aux mille facettes
Inondent mon être d'extase délirante
Tourbillonnant en légers frissons,
Tu pris mes tourments dans tes bras,
Sur moi, la vague déferla
Et au large m'emmena. . .





De Alphonse de Lamartine



al34200, Posté le mardi 13 novembre 2012 11:56
je passe sans faire de bruit pour te souhaiter une belle soirée